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    http://mrc92.free.fr/MDC_NAT/accueil.html

    <o:p> </o:p>

    ( Merci au travail de  Jean-Pierre LETTRON)


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    «Comme au Liban voici près d'un quart de siècle, Israël se trompe de stratégie : il se sert des outils de la dissuasion classique, efficaces contre un Etat centralisé, pour ramener à la raison une collection de bandes armées.

    <o:p> </o:p>

    « Pourquoi s'en prendre au Hamas « de l'intérieur », arrêter ses ministres et détruire ses infrastructures, en punissant au passage l'ensemble de la population ? Pour que cette population fasse à son tour pression sur le gouvernement, selon la méthode qui a si bien réussi au Liban ? Outre que cela aboutit manifestement au résultat contraire - jamais le Hamas n'a été aussi populaire que depuis le déclenchement de « pluies d'été » - quelle logique y a-t-il à faire pression sur des gens incapables d'y répondre ? 

    <o:p> </o:p>

    « Où l'on voit donc que sauver le soldat Shalit n'est pas l'unique objectif de l'opération, une campagne de cette envergure n'étant à l'évidence pas le meilleur moyen d'y parvenir. »

    <o:p> </o:p>

    « Provoquer la chute du gouvernement Hamas. Cela est parfaitement faisable, mais au bénéfice de qui ? L'idée selon laquelle un Fatah, revenu au affaires dans les tourelles des chars israéliens, aurait quelque chance de s'accrocher au pouvoir est tout simplement risible. »

    <o:p> </o:p>

    « En fait, à court terme, la seule issue raisonnable serait de stopper net l'opération militaire et de négocier un échange de prisonniers assorti d'un cessez-le-feu général, Qassam compris. »

    <o:p> </o:p>

    « Pour faire la paix, il faut deux Etats. L'un existe, l'autre attend que la « communauté internationale » le porte sur les fonds baptismaux ».

    <o:p> </o:p>

    Lire la suite dans le journal MARIANNE - N° 481 du 8 au 14 juillet 2006


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    Deux associations, Avocats sans frontières et France-Israël, avaient engagé des poursuites contre le texte, visant deux passages en particulier


    "On a peine à imaginer qu'une nation de fugitifs, issue du peuple le plus persécuté de l'histoire de l'humanité (...) soit capable de se transformer en deux générations en peuple dominateur et sûr de lui et, à l'exception d'une admirable minorité, en peuple méprisant ayant satisfaction à humilier", affirmait le point de vue, ajoutant : "Les juifs d'Israël, descendants des victimes d'un apartheid nommé ghetto, ghettoïsent les Palestiniens. Les juifs, qui furent humiliés, méprisés, persécutés, humilient, méprisent, persécutent les Palestiniens."

    <o:p> </o:p>

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3226,36-795019,0.html


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  • La mobilisation des familles, au sein de nos écoles, témoigne d´une solidarité et d´une humanité admirables. Malheureusement, on ne peut pas en dire autant des tentatives de récupération qui dénaturent ce mouvement de solidarité. Tout particulièrement, je condamne le discours inacceptable de certains qui comparent la France d´aujourd´hui et celle de l´occupation, le sort des enfants sans-papier et celui des enfants juifs déportés. Cette comparaison n´est pas seulement fausse, elle est indécente.
     
    Le réseau Education Sans Frontière demande aux villes d´organiser des cérémonies de parrainage. La ville du Kremlin-Bicêtre n´organisera pas de telles cérémonies parce que les responsabilités des citoyens ne sont pas les mêmes que celles des élus : la désobéissance civile et son apologie ne sont pas admissibles d´élus en charge de l´intérêt général. La loi démocratique est la loi de tous.
     
    Plus concrètement, soyons lucides : la gauche a expulsé hier, elle expulsera demain, y compris des familles. Les cérémonies de baptême en délégitimant totalement la procédure d´expulsion, jusqu´à assimiler expulsion et déportation, reflètent une position de dérégulation (« Des papiers pour tous ») qui n´aboutit qu´à servir la mondialisation libérale qui demande des travailleurs à bas salaires.
     
    Adversaire de la politique de M. Sarkozy qui met en cause le droit à une vie familiale normale et le regroupement familial, je suis partisan d´une immigration régulée. Les règles sont nécessaires et il n´y a pas de règle sans sanction. Je ne souhaite pas être de ces élus qui se permettent toutes les irresponsabilités dans l´opposition avant de changer de discours après les élections. Notre pays mérite mieux que ça, les familles concernées aussi. Ce ne sont pas de baptêmes symboliques dont le pays a besoin mais d´une régularisation des personnes qui se trouvent piégées dans la situation créée par le Ministre de l´Intérieur depuis 2002 : des règles plus dures dont l´application est impossible.
     
    Oui, demain, il faudra mener une régularisation des personnes en situation irrégulière mais je n´ai pas l´irresponsabilité d´appeler à une régularisation totale. Des critères justes devront être posés, en premier lieu l´ancienneté de résidence. La République doit prendre la mesure des impasses de la politique migratoire menée depuis 2002, en mettant en place une politique de l´immigration qui passe par le démantèlement des filières du travail clandestin, la lutte contre les trafiquants de main d´oeuvre et le co-développement des pays d´émigration.
     
    Jean-Luc LAURENT
    Maire du Kremlin-Bicêtre
    Vice-Président du Conseil Régional d'Ile-de-France


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