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    Les dirigeants européens ont sorti de leur chapeau une constitution vidée de sa substance. Récit d'une complaisance béate.

     

    19 octobre 2007. Scène de magie à Lisbonne. De l'enveloppe de la « Constitution européenne » est extrait, sous les acclamations des chefs d'Etat et de gouvernement émerveillés, le noyau dur : une Union européenne gouvernant par l'entremise de comités d'experts, de sages et de juges, toutes instances indépendantes des peuples mais non, assurément, des lobbies. Et chacun de se féliciter et de rentrer chez soi avec une injonction et une seule : plaudite, cives !

    Vous avez aimé la grande soeur ? Vous allez adorer la petite. Revoici les actes législatifs que ne contrôle aucun peuple souverain, les décisions à la majorité qualifiée réglant notre vie quotidienne, notre vie économique et sociale, une justice qui ne rend de comptes à personne, tout occupée qu'elle est à régler les principes fondamentaux de nos sociétés ainsi d'ailleurs que les moeurs, un Parlement qui ne décide pas de la loi et ne contrôle aucun exécutif, sans oublier le festin des peuples : un droit de pétition comme aux plus beaux temps de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Restauration.">la Restauration.</st1:PersonName>

    <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Restauration."></st1:PersonName> 

    <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Restauration."></st1:PersonName>http://www.marianne2.fr/Le-miracle-de-Lisbonne_a80580.html?PHPSESSID=bad06cc209ecbe77343faf09c078e002 

     

    [Merci à Nicole]


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    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>Peut-on se rapprocher d'un régime présidentiel ?

    Lundi 5 novembre 2007

    Maison de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Chimie" w:st="on">la Chimie</st1:PersonName>28 rue Saint Dominique75007 Paris

    Les invités :  Marie-Françoise Bechtel, Conseiller d'Etat ;Christophe Boutin, professeur à l'Université de Caen ; Anne-Marie Le Pourhiet, professeur à l'Université de Rennes ; Michel Troper, professeur à l'Université de Paris X et Jean-Pierre Chevènement, président de <st1:PersonName ProductID="la Fondation Res" w:st="on">la Fondation Res</st1:PersonName> Publica

    Inscrivez-vous : info@fondation-res-publica.org


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  • Le Chef de l'État a publiquement posé le dilemme entre « bombe iranienne » et « bombardement de l'Iran ». Son ministre des Affaires étrangères l'a relayé en déclarant qu'il fallait « se préparer à la guerre ».

    Affirmer d'emblée, au départ d'une crise, une « logique de guerre », c'est évidemment prêter la main à une prophétie autoréalisatrice.

    Après la rencontre de Nicolas Sarkozy avec George. W Bush, on peut craindre que ces déclarations ne marquent notre alignement et la résignation de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> à laisser le champ libre à l'aventurisme militaire des faucons américains.

    Que ceux-ci puissent laisser entrevoir la menace de frappes militaires sur les sites stratégiques de l'Iran pourrait à la limite se concevoir, si cette menace pouvait contribuer à amener ce grand pays à soumettre son industrie nucléaire civile à tous les contrôles de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). La menace cependant est à double tranchant : elle pourrait aussi favoriser en Iran le camp des durs, comme on croit l'apercevoir avec le remplacement du négociateur iranien, Ali Larijani.

     

    http://www.lefigaro.fr/debats/20071026.FIG000000055_non_a_la_logique_de_guerre_avec_l_iran.html


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    Si <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="La République">la République</st1:PersonName> se définit d'abord par la souveraineté du Peuple, il se pourrait bien qu'elle nous divise aujourd'hui plus qu'elle ne nous réunisse. En effet, loin des consensus mous qui nous font si souvent communier dans la religion de l'existant (<st1:PersonName w:st="on" ProductID="La République">la République</st1:PersonName> identifiée au suffrage universel) ou bien dans la bienpensance (la « Constitution européenne » prématurément intégrée à notre Constitution), <st1:PersonName w:st="on" ProductID="La République">la République</st1:PersonName> est d'abord une exigence de responsabilité civique. Le citoyen est une parcelle du Souverain et la citoyenneté s'apprend. C'était le rôle de l'Ecole publique d'« éduquer à la liberté », dans un espace laïque où la seule religion était celle de l'intérêt commun. La citoyenneté demande à chacun d'oublier son intérêt particulier pour se hausser à la hauteur de l'intérêt général.

     

    http://www.chevenement.fr/L-avenir-europeen-de-l-idee-republicaine_a452.html?preaction=nl&id=3345999&idnl=27467&

     

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  • Le président d'honneur du MRC (Mouvement républicain et citoyen), Jean-Pierre Chevènement, a jugé "un peu ridicule" que le président Nicolas Sarkozy n'assiste pas lundi à la lecture de la lettre de Guy Môquet dans un lycée.

    "Ca me paraît un peu ridicule, je pense que Nicolas Sarkozy devrait affronter quelques sifflets d'enseignants", a déclaré M. Chevènement sur France 2.

    Le chef de l'Etat, qui avait lui même décidé de cette journée d'hommage, ne se rendra pas dans un lycée, comme un temps envisagé, à l'occasion de la journée de commémoration du Résistant Guy Môquet, a annoncé dimanche son conseiller spécial Henri Guaino, invoquant des raisons d'agenda.

     

    http://www.chevenement.fr/Chevenement-un-peu-ridicule-que-Sarkozy-ne-se-rende-pas-dans-un-lycee_a450.html


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