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    Le Président de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la République">la République</st1:PersonName> a complètement abandonné l'idée qu'avant d'adapter <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> à une mondialisation dont il reconnaît lui-même le caractère déraisonnable, en évoquant un quadruple choc (du dollar, des subrpimes, du pétrole et des matières premières), il fallait changer les règles du jeu : prendre les moyens de lutter contre l'euro cher, protéger l'Europe contre des concurrences déloyales, mettre en oeuvre des politiques industrielles audacieuses.

    Le Président de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la République">la République</st1:PersonName>, en quittant la posture de l'indépendance nationale, a renoncé à parler clair sur le dollar aux Etats-Unis et sur le yuan à <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Chine. En">la Chine. En</st1:PersonName> faisant approuver le calamiteux traité de Lisbonne, pour les beaux yeux de Mme Merkel, il a renoncé à réorienter la construction européenne dans un sens plus conforme aux intérêts de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France. C'est">la France.</st1:PersonName>

    <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France. C'est">C'est</st1:PersonName> toute la partie volontariste de son programme électoral, celle que lui avait souflée Henri Guano, qui tombe à l'eau. Prendre les agences de notation comme boucs émissaires de ce renconcement relève d'une dérobade assez comique. « Notre capitalisme », explique le Président de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la République">la République</st1:PersonName>, n'est pas moral. La belle découverte ! Et que nous propose Nicolas Sarkozy ? « Nous sommes dans un contexte international défavorable : raison de plus pour accélerer ». Le changement se réduit à 55 réformes visant à durcir la concurrence. Les renards apprécieront. Le poulailler, lui, a compris à quelle sauce il allait être mangé.

    Quant au Président de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la République">la République</st1:PersonName>, plus il accélerera, et plus il créera un fossé d'incompréhension entre lui même et l'opinion publique. Celle-ci ne peut comprendre le langage de l'adaptation passive à une mondialisation libérale désormais entrée en crise.

     

    http://www.chevenement.fr/Nicolas-Sarkozy-le-renoncement-face-a-la-mondialisation-liberale_a608.html?PHPSESSID=6b9a6253679a63fdfa36b0f21c157755

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    L'électrochoc dont a besoin le Parti socialiste pour se reconstruire et l'emporter passe par une critique approfondie du capitalisme.

    Certains, à gauche, comptent sur la puissance du rejet du pouvoir en place : il suffirait, à leurs yeux, que le Parti socialiste désigne demain un candidat crédible, en cohérence avec le projet social-libéral qu'il porte depuis 1983, éventuellement corrigé à la marge. Pour d'autres, les trois échecs successifs du candidat socialiste à l'élection présidentielle (1995, 2002, 2007) ne sont pas l'effet du hasard, mais la conséquence d'une rupture profonde avec les couches populaires que Ségolène Royal n'a comblé qu'en partie en 2007.

    La reconquête de l'électorat populaire n'est pas possible à partir de l'existant. Elle passe par l'organisation d'un électrochoc puissant, débouchant sur la création d'un grand parti de toute la gauche, à condition bien entendu qu'il porte un projet à la hauteur des défis de la crise qui vient. Le mouvement socialiste, depuis les origines, n'a jamais fait l'économie d'une critique du capitalisme de son temps. La refondation de la gauche aujourd'hui ne peut davantage faire l'économie d'une critique approfondie de la globalisation.

     

    http://www.chevenement.fr/Un-grand-parti-de-gauche-pour-un-New-Deal_a607.html?preaction=nl&id=3345999&idnl=34282&


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    Avec Aimé Césaire, une grande voix, libre et fraternelle, vient de s'éteindre. Celle d'un poète enraciné dans sa terre et fidèle à son peuple, défrichant les chemins de l'avenir. Celle d'un homme incarnant l'idéal d'égalité contre tous les asservissements.

    Aimé Césaire était le symbole de la fierté et la dignité d'un combat émancipateur qu'il a mené par la plume et par l'action. Nul n'oubliera qu'il fut, à <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Lib←ration" w:st="on">la Libération</st1:PersonName>, l'avocat de la création des départements d'outre-mer.

    Il a donné aux lettres françaises un éclat magnifique et à l'engagement politique sa valeur exemplaire. <st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">La France</st1:PersonName> vient de perdre un de ses plus grands fils.

     

    http://www.chevenement.fr/Aime-Cesaire-la-France-vient-de-perdre-un-de-ses-plus-grand-fils_a606.html?preaction=nl&id=3345999&idnl=34130&


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    Huit intervenants, praticiens, militants et chercheurs prennent ici la parole pour déconstruire méticuleusement ce populisme pénal prôné par le chef de l'Etat, qui a dicté l'adoption de la loi sur <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Rétention" w:st="on">la Rétention</st1:PersonName> de sûreté, et le populisme constitutionnel qui veut l'appliquer par-delà les principes supérieurs de notre droit.

     

    http://www.lautrecampagne.org 

     

    Signer l'appel pour l'abolition de la loi : http://www.contrelaretentiondesurete.fr


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  • Le PS s'est déclaré lundi d'accord pour une "accélération du travail commun à gauche", au lendemain de la prise de position du MRC de Jean-Pierre Chevènement en faveur de "la constitution d'un grand parti de la gauche".

    "Nous partageons avec lui la préoccupation que la gauche se réunisse et se mette au travail autour de ses comités de liaison ou de structures fédératrices dès que cela sera possible", a affirmé le secrétaire national Bruno Le Roux lors du point de presse hebdomadaire du parti.

    "Nous partageons cette nécessité d'accélération du travail commun à gauche. Nous prendrons avec lui et avec d'autres les initiatives permettant d'accélérer ce travail commun à gauche", a ajouté le responsable PS.

    Réuni dimanche, le conseil national du Mouvement républicain et citoyen (MRC) a exprimé "la volonté du MRC de s'inscrire dans un processus de refondation républicaine par la création d'un grand parti de toute la gauche", en soulignant que "cette refondation ne saurait en aucun cas être confondue avec une adhésion au PS".

     

    http://www.chevenement.fr/Accord-du-PS-avec-le-MRC-pour-une-acceleration-du-travail-commun-a-gauche_a598.html?PHPSESSID=4c5d24d1b0ab173662b7ebc3e3680219


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