• Bon courage, l'Europe ! par Paul Thibaud

    <?xml:namespace prefix = v ns = "urn:schemas-microsoft-com:vml" /><v:shapetype id=_x0000_t75 stroked="f" filled="f" path="m@4@5l@4@11@9@11@9@5xe" o:preferrelative="t" o:spt="75" coordsize="21600,21600"><v:stroke joinstyle="miter"></v:stroke><v:formulas><v:f eqn="if lineDrawn pixelLineWidth 0"></v:f><v:f eqn="sum @0 1 0"></v:f><v:f eqn="sum 0 0 @1"></v:f><v:f eqn="prod @2 1 2"></v:f><v:f eqn="prod @3 21600 pixelWidth"></v:f><v:f eqn="prod @3 21600 pixelHeight"></v:f><v:f eqn="sum @0 0 1"></v:f><v:f eqn="prod @6 1 2"></v:f><v:f eqn="prod @7 21600 pixelWidth"></v:f><v:f eqn="sum @8 21600 0"></v:f><v:f eqn="prod @7 21600 pixelHeight"></v:f><v:f eqn="sum @10 21600 0"></v:f></v:formulas><v:path o:connecttype="rect" gradientshapeok="t" o:extrusionok="f"></v:path><?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:lock aspectratio="t" v:ext="edit"></o:lock></v:shapetype>

    <v:shape id=_x0000_s1026 style="MARGIN-TOP: -689.7pt; Z-INDEX: 1; MARGIN-LEFT: -91.05pt; WIDTH: 19.5pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 24.75pt; wrap-distance-left: 0; wrap-distance-top: 0; wrap-distance-right: 0; wrap-distance-bottom: 0; position-horizontal: absolute; position-horizontal-relative: text; position-vertical: absolute; position-vertical-relative: line" alt="D" type="#_x0000_t75" o:allowoverlap="f"><v:imagedata src="file:///C:\DOCUME~1\jean-luc\LOCALS~1\Temp\msohtml1\01\clip_image001.gif" o:title="d"></v:imagedata><?xml:namespace prefix = w ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:word" /><w:wrap type="square"></w:wrap></v:shape> 

    Depuis les incidents référendaires de 2005, le débat sur l'Europe a traversé une période de torpeur dont les présidentiables français craignent évidemment de sortir. Peut-on espérer un révil, capable de refonder l'union de l'Europe ?

    Le problème n'est pas que la mauvaise humeur de certains électeurs ait enrayé le "processus" (que voilà un mot européen !) de ratification constitutionnelle. L'Europe n'est pas bloquée, elle tourne. Les services publics nationaux sont arasés comme prévu, <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Commission" w:st="on">la Commission</st1:PersonName> morigène les gouvernements. Ces gouvernements acceptent les décisions de <st1:PersonName ProductID="la Banque" w:st="on">la Banque</st1:PersonName> centrale, qu'ils ne peuvent critiquer sans encourir l'opprobre des commentateurs. Le Parlement a parfois (à propos de la directive dite Bolkestein, par exemple) l'oreille de l'opinion.

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