• <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

     

    PARIS, 8 oct 2007 (AFP) - Jean-Pierre Chevènement a déclaré lundi sur France Info avoir "confiance" dans la capacité de la gauche à "se reprendre" après sa défaite électorale du printemps.
    M. Chevènement a rencontré lundi le premier secrétaire du PS François Hollande, avec chacun une délégation, pour parler "d'abord d'un nouveau départ" de la gauche, selon le président d'honneur du MRC.
    Selon un communiqué du PS, les deux parties ont discuté de la refondation de la gauche et des élections municipales et cantonales.

     

    http://www.chevenement.fr/Chevenement-a-confiance-dans-la-capacite-de-la-gauche-a-se-reprendre_a432.html?preaction=nl&id=3345999&idnl=26838&


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    L'adhésion à Nicolas Sarkozy traduit une envie des Français de sortir du marasme. Ce qui garantit un sursis au Président, mais pas forcément un succès.  La dernière campagne électorale a été jugée (par Jean-Pierre Le Goff dans le numéro d'octobre du Débat) comme une catharsis : le débordement imprévu, en principe libérateur, d'idées et de sentiments refoulés par les électeurs. Dans notre cas, ce que l'on ne s'avouait pas, du moins en politique, mais dont on était obsédé, est la profondeur de l'échec que connaît <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName>, incapable de s'adapter ou de se refaire, de se résigner aussi bien que de répliquer face à un monde nouveau, décentré et déconcertant.
    Depuis des décennies, le politique empêchait qu'un aveu libérateur vienne au centre de la conscience collective, il préférait orienter l'esprit public vers des «remédiations » ou des compensations imaginaires dont l'Europe sociale aura été, chez les socialistes du moins, l'alibi. Cette fois, les principaux candidats ont choisi de se présenter d'abord en Français inquiets pour leur pays et pleins de compassion pour leurs compatriotes. Ils se sont effectivement « rapprochés des citoyens » dans la mesure où ils se sont immergés dans le désarroi commun, renonçant pour cela à la posture et à la fonction essentielle du politique : affronter la situation, l'expliquer, proposer une solution articulée, ce que l'on appelle un programme.

    http://www.marianne2.fr/Suite-francaise-1-Au-miroir-de-Sarkozy_a78865.html?PHPSESSID=ed88f1d21e79238cde4682e25fd81dd9 

    [Merci à Nicole]


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    Paris, le 27 août, conférence des ambassadeurs. Abordant l'épineuse question de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Turquie" w:st="on">la Turquie</st1:PersonName>, Nicolas Sarkozy tient des propos qui, dans sa bouche, prennent une résonance singulière. "<st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">La France</st1:PersonName> ne s'opposera pas à ce que de nouveaux chapitres de la négociation entre l'Union et <st1:PersonName ProductID="la Turquie" w:st="on">la Turquie</st1:PersonName> soient ouverts", dit-il devant une assistance médusée.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

    Le refus de l'entrée de <st1:PersonName ProductID="la Turquie" w:st="on">la Turquie</st1:PersonName> dans l'Union semblait pourtant réglé. Association oui, adhésion non : Nicolas Sarkozy en avait fait une question de principe, lors de notre débat. Quelques mois plus tard, frappé par un principe de réalité jusqu'alors nié, il dessine une perspective radicalement différente. La fermeture qu'il prônait se voit du jour au lendemain disqualifiée. On pense même à supprimer le référendum obligatoire préalable à une éventuelle adhésion. Pour <st1:PersonName ProductID="la Turquie" w:st="on">la Turquie</st1:PersonName>, tout redevient possible !

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-961576,0.html


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  • « La gauche au service de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="La France" w:st="on">la France</st1:PersonName> » Jean-Pierre Chevènement

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    Le Parti socialiste a été longtemps, et presque par nature, un parti d'opposition. Il a fallu les institutions de <st1:PersonName ProductID="la Ve R←publique" w:st="on">la Ve République</st1:PersonName> pour qu'il devienne un parti de gouvernement, et François Mitterrand pour inscrire son action dans la durée. Durer, toutefois, n'est pas un projet. L'Europe à laquelle a été sacrifiée, en 1983, la perspective sur laquelle était fondé le parti d'Epinay nous a inscrits dans le mouvement de la "globalisation" sans nous permettre de l'infléchir. Le peuple français a dit non à cette Europe-là, le 29 mai 2005.

    La perspective "fédéraliste", illusoire en fait dès le départ, a désormais fait long feu. L'Europe est constituée d'une trentaine de nations qui ne veulent pas disparaître et le font savoir. Quant au rêve d'une Europe qui serait une "plus grande France", il n'a pas résisté à la réalité des élargissements successifs. L'Europe est et restera une coopérative de nations dont, avec d'autres, nous pourrons essayer de faire évoluer le contenu. En tout état de cause, <st1:PersonName ProductID="La France" w:st="on">la France</st1:PersonName>, elle, restera.

     

    http://www.chevenement.fr/La-gauche-au-service-de-la-France_a426.html?preaction=nl&id=3345999&idnl=26080&


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  • "Quel dialogue avec les autorités religieuses musulmanes en Europe ?"

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    L'Etat en France « ne reconnaît aucun culte » aux termes de la loi de décembre 1905 portant séparation des Eglises et de l'Etat. Mais il les connaît et entretient avec eux un dialogue régulier. Or, ce dialogue, en France, ne pouvait exister jusqu'à une date récente avec les autorités religieuses musulmanes puisque, à la différence des autres religions, l'Islam en France ne disposait d'aucune institution représentative (Assemblée des Evêques de France, Fédération protestante, Consistoire central israélite).

    Ce fait était choquant. Le Président de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la R←publique" w:st="on">la République</st1:PersonName>, pour la cérémonie des vœux des autorités religieuses ne recevait pas de représentant de l'Islam de France mais seulement Monseigneur Lustiger, le pasteur de Clermont et le Grand Rabbin Sitruk. D'autant plus choquant que le fait musulman existe puissamment en France, encore que la pratique effective ne concerne, selon plusieurs enquêtes, qu'environ 10 % des Français et étrangers régulièrement établis, de « tradition musulmane », et environ 30 % respectant les interdits alimentaires et le Ramadan. Le principe de laïcité interdit un recensement sur des bases ethniques ou confessionnelles. Nous en sommes réduits aux approximations : quatre à cinq millions de résidents en France, selon toute vraisemblance, dont une moitié sensiblement est de nationalité française.

     

    http://www.chevenement.fr/Quel-dialogue-avec-les-autorites-religieuses-musulmanes-en-Europe-_a425.html?preaction=nl&id=3345999&idnl=26080&

     


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