-
Par C2R le 6 Janvier 2007 à 15:22
(Lire la suite : Cliquer sur le texte ci-dessus)
votre commentaire -
Par C2R le 6 Janvier 2007 à 15:19
<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>(Lire la suite : Cliquer sur le texte ci-dessus)
votre commentaire -
Par C2R le 3 Janvier 2007 à 17:19
S'agissant de l'Irak ou du dossier israélo-palestinien, chacun en convient désormais aux Etats-Unis, plus rien ne sera comme avant le rapport Baker-Hamilton. Même si les suites immédiates en sont incertaines, le constat est sans appel et il est remarquable que ce soient, une fois encore, les propres ressorts de la démocratie américaine qui aient fonctionné pour que l'opinion prenne la juste mesure de l'immensité de la tragédie irakienne, reprenne conscience de l'impérieuse centralité du drame palestinien et se voie proposer un changement de politique dans l'ensemble de la région.
Dans le même temps et en dépit des apparences, quelques signes encourageants sont apparus en Israël. S'ajoutant à la disponibilité avérée de l'opinion sur un Etat palestinien.
En l'espace de quelques semaines, l'initiative arabe pour une paix globale dans la région, plus connue sous le nom d'initiative Abdallah, a été déclarée recevable par le premier ministre Ehoud Olmert et son ministre israélien de la défense, Amir Peretz.
<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p>Lire la suite :</o:p>http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-851175,0.html
votre commentaire -
Par C2R le 3 Janvier 2007 à 17:17
« Plus qu'un crime, c'est une faute ». Ce commentaire de Talleyrand après l'exécution du duc d'Enghien s'applique parfaitement à celle de Saddam Hussein.
En effet, c'est d'abord la justice des vainqueurs qui s'est appliquée. Les Etats-Unis, qui avaient soutenu le dictateur dans la guerre contre l'Iran de 1981 à <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:metricconverter w:st="on" ProductID="1988, l">1988, l</st1:metricconverter>'ont livré hier aux bourreaux d'un gouvernement fantoche dépourvu de toute légitimité nationale.
<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>Lire la suite :
http://www.chevenement.fr/Le-sommeil-de-la-raison-engendre-des-monstres_a150.html
votre commentaire -
Par C2R le 11 Octobre 2006 à 18:53La mortalité a été multipliée par six depuis octobre 2004, alors que l'Onu s'alarme des meurtres et représailles entre communautés religieuses et milices qui «échappent à tout contrôle». 650.000 : c'est le nombre de civils irakiens tués, à la suite de l'occupation de leur pays par l'armée américaine et ses alliés entre mars 2003 et juillet dernier. Cette évaluation a été effectuée par des spécialistes de santé publique américains et de l'université de Bagdad, dans un article mis en ligne jeudi par la revue scientifique britannique, « The Lancet ».Un chiffre d'autant plus effrayant qu'il illustre la croissance démesurée de la mortalité : en octobre 2004, une précédente estimation parue dans cette même publication évaluait à environ 100.000 le nombre de morts liées à cette invasion entre mars 2003 et septembre 2004. Autre conclusion : sur 655.000 décès en excès, environ 601.000 sont dus à des causes violentes, à commencer par les tirs (56%). Un tiers des morts sont par ailleurs attribuables aux forces de coalition dirigée par les Etats-Unis. Le chef des affaires humanitaires de l'Onu, Jan Egeland, a dénoncé un autre phénomène : les meurtres et représailles entre communautés religieuses et milices en Irak qui «échappent à tout contrôle». Selon lui, 100 personnes sont tuées chaque jour, et «nombre d'entre elles sont tuées par balles ou ont été torturées jusqu'à la mort». «Les meurtres de vengeance semblent échapper à tout contrôle», constate-t-il.
En trois ans et demi, le taux de mortalité brut est passé de 5,5 pour mille habitants, à 13,3 pour mille par an. Une progression qui constitue une véritable urgence humanitaire, selon les auteurs de l'étude. Même si de tels taux peuvent être courants en temps de guerre, la durée de ce conflit ainsi que l'importance de la population affectée (27 millions d'habitants) font de cette guerre l'une des plus meurtrières depuis le début du XXe siècle, selon les auteurs.
<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>NDLR : Il est parfois bien triste de constater, et sans satisfaction aucune, combien - Ô Combien - Jean-Pierre Chevènement avait une fois de plus raison sur cette action politique désastreuse.
1 commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique