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    « Il faut un vote sur l'Afghanistan » Le Parisien, vendredi 28 mars 2008.

     

    Le Parisien : Etes-vous favorable au renforcement des troupes françaises engagées en Afghanistan ? Jean-Pierre Chevènement. Non. Je suis d'ailleurs surpris car l'annonce du chef de l'Etat est contradictoire avec les déclarations du candidat Sarkozy durant la campagne présidentielle. Le 26 avril 2007, il affirmait sur France 2 : « La présence à long terme des troupes françaises à cet endroit du monde ne me semble pas décisive. » J'ajoute que cette annonce a été faite devant le Parlement britannique, les parlementaires français étant pour le moment frustrés d'un débat tout à fait légitime.

    Craignez-vous un enlisement du conflit ?

    Il est malheureusement avéré. L'invasion de l'Irak, dégénérant en conflit de civilisations, a pollué l'intervention en Afghanistan. Il n'y a aucune solution politique et militaire en vue. L'engagement de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> sur un théâtre d'opérations aussi lointain, alors que le cadre général de la mission, ses objectifs, son calendrier ne sont pas bien fixés, est dangereux. Quatorze soldats français sont déjà morts : on peut doubler les effectifs et doubler le nombre de victimes. Sans compter les risques pour nos intérêts de sécurité en France même.

     

    http://www.chevenement.fr/Entretien-de-Jean-Pierre-Chevenement-au-Parisien-Il-faut-un-vote-sur-l-Afghanistan-_a585.html?preaction=nl&id=3345999&idnl=33303&


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    Il est mort depuis six ans. Pourtant, il est toujours vivant. Ainsi le franc reste une unité de compte utilisée par les Français : quatre ménages sur dix y recourent pour mentionner des dépenses ou un salaire.

    C'est ce que révèle l'enquête «Budget des familles de l'Insee», effectuée entre mars 2005 et mars 2006.

    Ainsi, une dame de 80 ans, habitant au fin fond d'un village corse, tendra à parler en francs.  A fortiori si son niveau d'études n'a dépassé le primaire.

    A contrario, les moins de 25 ans sont ceux qui s'expriment le plus systématiquement en euros.
    Cet impact de l'âge est sans surprise. «Pour beaucoup, les repères et les échelles de valeur demeurent en francs. Et chez les personnes âgées d'autant plus. Le cadre de référence en francs, très ancré, depuis longtemps, persiste alors davantage», relève le statisticien Maël Theulière, auteur de l'étude.

    Autre critère décisif pour expliquer le recours à l'une ou l'autre monnaie : le montant de la dépense. Plus il est faible, plus il a de chance d'être exprimé en euros. Eh oui, par exemple, la baguette. A l'inverse, au-delà de 1500 euros (soit 9825 francs), les enquêtés semblent moins à l'aise et recourent aux francs.

     

    http://consottisier.blogs.liberation.fr/marie_dominique_arrighi/2008/03/le-franc-bouge.html#more

     


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    Jean-Pierre Chevènement, président d'honneur du MRC, a salué dimanche soir les "belles victoires remportées" par la gauche au deuxième tour des municipales et l'élection du maire sortant MRC Etienne Butzbach à Belfort.
    Etienne Butzbach, qui avait remplacé M. Chevènement à la tête de la mairie de Belfort après son retrait en juin dernier, a été réélu avec 48,27% des voix dans une triangulaire qui l'opposait à une liste UMP conduite par le député Damien Meslot et une liste Modem.
    Le MRC préserve ses autres mairies, notamment au Kremlin-Bicêtre, à Saint-Pol-Sur-Mer et à Méry-Sur-Oise, ajoute M. Chevènement.

    Pour l'ancien ministre, "il ne suffit pas pour la gauche de remporter de belles victoires locales", il faut désormais "préparer au niveau national, mieux qu'une alternance, une alternative construire". "Pour se refonder la gauche a besoin d'un nouvel Epinay", selon lui.

     

    http://www.chevenement.fr/index.php


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    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    L'Allemagne au sommet de l'Europe ?

     

    Lundi 17 mars 2008 à 18h

     

    Maison de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Chimie">la Chimie</st1:PersonName> 75007 Paris

     

    Avec la participation de : Edouard Husson, Maître de conférence à l'Université de Paris IV, Claude Le Gal, Secrétaire général du Club économique franco-allemand, François David, Président de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Coface">la Coface</st1:PersonName>, Tobias Seidel, Chercheur à l'Institute for Economic Research de Münich, Hervé Joly, Chargé de recherche au CNRS, Jean-Pierre Chevènement, président de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Fondation Res">la Fondation Res</st1:PersonName> Publica (en présence de M. Claude Martin, ancien Ambassadeur de France en Allemagne)

     

    Inscrivez-vous res-publica@wanadoo.fr


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