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    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    Lundi 22 janvier

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    Posez vos questions en vidéo à Jean-Pierre Chevènement pour son passage au Club du Net de Karl Zero.

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    http://leweb2zero.tv/publish/?from=aol


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    Jean-Pierre Chevènement sera l'invité de

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    "Ripostes" sur France 5

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    Dimanche 21 janvier


     


    à 17h55.


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    Le Monde : Comment justifiez-vous votre ralliement à Ségolène Royal, partisane de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Constitution" w:st="on">la Constitution</st1:PersonName> européenne, alors que vous en étiez un de ses plus farouches détracteurs ?
    Jean-Pierre Chevènement : Vous oubliez un événement très important : le peuple français a rejeté le projet de Constitution européenne, le 29 mai 2005 et Ségolène Royal entend respecter le verdict populaire en dépassant, en dynamique, le clivage du oui et du non. L'accord politique passé entre le MRC et le PS est à cet égard pleinement satisfaisant. Il affirme la priorité d'un redressement économique et social de la construction européenne et il écarte l'idée d'une nouvelle Constitution. Ségolène Royal a dit clairement que <st1:PersonName ProductID="la Constitution" w:st="on">la Constitution</st1:PersonName> était caduque et qu'il fallait « faire l'Europe par la preuve ». Elle a souligné à Porto, devant les socialistes européens, la nécessité de réformer les statuts de <st1:PersonName ProductID="la BCE" w:st="on">la BCE</st1:PersonName> pour y inscrire le soutien à la croissance et à l'emploi.

    <o:p> </o:p>

    http://www.chevenement.fr/L-entretien-avec-Jean-Pierre-Chevenement-tel-que-vous-auriez-du-le-lire-dans-Le-Monde_a177.html?PHPSESSID=6ef953a56289839f5e4ff05798742653


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    Jean-Pierre Chevènement, président d'honneur du Mouvement républicain et citoyen (MRC), a estimé mardi à Lyon que l'image de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> serait "considérablement bonifiée" par une victoire de Ségolène Royal à l'élection présidentielle. Chevènement, qui avait retiré sa candidature à la présidentielle début décembre en sa faveur, a assuré lui "faire confiance pour porter une idée généreuse de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> (...) et des valeurs qui peuvent être partagées par les Français".


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  • La puissante conférence permanente des coordinations associatives (CPCA) soutient un projet absurde de création de statut d'association européenne.

    Au premier abord, on peut analyser ce projet comme le pur effet de la pensée mécanique adoptée par beaucoup d'acteurs de ce qu'il est convenu d'appeler la "société civile" et qui aboutit à vouloir rendre européen tout ce qui ne l'est pas, partant du principe que cela représente nécessairement un progrès (voir : <http://cpca.asso.fr/actu/europe/breve_etleSAE.html> ). Et lorsqu'on voit des associations comme Animafac (voir sur le web http://www.animafac.net/article.php3?id_article=90) ou des syndicats comme l'UNSA ( voir proposition n°4 sur le web http://www.unsa-education.org/sep/dec/educpop/2005-06/2006.03.politique_educpop.pdf) soutenir ce projet, on peut se sentir confirmé dans cette appréciation initiale de projet européiste plus inepte que mal intentionné.Mais il semblerait que les choses soient plus compliquées que cela, à l'examen de plusieurs faits troublants :
    - ce projet est un vieux projet (il remonte à 1984 et la commission européenne en est saisie depuis 1991 !) tellement absurde que monsieur Barroso lui-même, dans un communiqué du 27 septembre 2005 ( voir sur le site du Sénat :
    http://www.senat.fr/europe/textes_europeens/e2982.pdf), a décidé de retirer définitivement ce projet de la liste des propositions auxquelles il travaillerait, le trouvant "source de paperasserie inutile";

    - devant cette volonté de retrait de la commission européenne, Bernard FRIMAT, sénateur socialiste, incite le Sénat à prendre la résolution suivante : demander au gouvernement français de bien vouloir agir auprès de la commission européenne pour qu'elle retire de la liste des 68 projets "annulés" par elle (dans le texte E2982) celui relatif à la création du statut d'association européenne (voir sur le site du Sénat : http://www.senat.fr/leg/ppr05-095.html)...,


    - suite à la conférence nationale de la vie associative de janvier 2006, le projet de statut d'association européenne est (théoriquement) relancé par le gouvernement français lui-même (voir par exemple http://www.educ-pop.org/763).Manifestement, ce projet doit avoir un sens et une profondeur inaperçus... Pourtant, d'après un site web tout officiel (cf. http://www.associations.gouv.fr/article.php3?id_article=7), le projet reste du genre fumeux. Son objectif, tout empreint de pensée certes vaine mais délicieusement magique, s'énonce en effet ainsi : "Ce projet vise à créer un statut unique d'association européenne qui permette aux associations d'intervenir dans n'importe quel pays de l'Union, avec les mêmes droits que ceux qui sont accordés aux associations du pays d'accueil. Le statut contribuera au développement du fait associatif au sein de l'Europe et y renforcera le poids de la société civile et de la démocratie participative"... Car face aux 50 milliards d'euros (sic) que constituent l'ensemble des fonds publics français accordés aux associations, face à la loi 1901 (on ne peut plus loi de liberté et ne contenant plus de restrictions concernant la nationalité) et à la loi 1905 de notre République, face aux agréments divers et aux reconnaissances d'utilité publique, face à toutes ces faveurs spécifiques à <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> par lesquelles l'Etat se fait fort de promouvoir et de garantir l'indépendance de son contre-pouvoir, que pourrait donc bien peser un misérable statut d'association européenne?


    Qu'espère donc nos grandes et braves associations en le réclamant?Hélàs une seule solution pour rendre compte alors de cet étrange projet : qu'il n'y soit pas question vraiment de développement de la vie associative en tant que mode de relation interpersonnelle indépendant et désintéressé mais de développement de la fameuse et si souvent ambiguë économie sociale et solidaire avec tous ses travers potentiels (et actuels) : il faut un statut d'association européenne car il y a déjà un statut de société anonyme européenne. Il y aurait là un désavantage commercial tout à fait inique... Sommes nous bêtes !?Mais alors, il faut que <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la CPCA">la CPCA</st1:PersonName>, le Sénat, le gouvernement, l'UNSA, Animafac et cetera le disent clairement, comme "Le Taurillon magazine eurocitoyen" a lui le courage de le faire : "Ce statut d'association européenne, fruit de la ferveur communautaire d'un groupe d'eurodéputés conduits par Nicole Fontaine, entendait consacrer la liberté associative européenne, soit la possibilité de créer des mouvements, des organisations et des ONG susceptibles d'agir et d'être reconnus sur le territoire de tous les États membres de l'Union.


    À l'instar des banques et des multinationales depuis des décennies" (cf http://www.taurillon.org/Pour-un-statut-d-association )Histoire que les Français, qui ont voté NON le 29 mai 2005, puissent juger un peu mieux du rôle, des stratégies et des naïvetés de certains membres de la "société civile associative" dans la construction de l'Union européenne comme on ne l'aime pas.


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