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S'agissant de l'Irak ou du dossier israélo-palestinien, chacun en convient désormais aux Etats-Unis, plus rien ne sera comme avant le rapport Baker-Hamilton. Même si les suites immédiates en sont incertaines, le constat est sans appel et il est remarquable que ce soient, une fois encore, les propres ressorts de la démocratie américaine qui aient fonctionné pour que l'opinion prenne la juste mesure de l'immensité de la tragédie irakienne, reprenne conscience de l'impérieuse centralité du drame palestinien et se voie proposer un changement de politique dans l'ensemble de la région.
Dans le même temps et en dépit des apparences, quelques signes encourageants sont apparus en Israël. S'ajoutant à la disponibilité avérée de l'opinion sur un Etat palestinien.
En l'espace de quelques semaines, l'initiative arabe pour une paix globale dans la région, plus connue sous le nom d'initiative Abdallah, a été déclarée recevable par le premier ministre Ehoud Olmert et son ministre israélien de la défense, Amir Peretz.
<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p>Lire la suite :</o:p>http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-851175,0.html
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« Plus qu'un crime, c'est une faute ». Ce commentaire de Talleyrand après l'exécution du duc d'Enghien s'applique parfaitement à celle de Saddam Hussein.
En effet, c'est d'abord la justice des vainqueurs qui s'est appliquée. Les Etats-Unis, qui avaient soutenu le dictateur dans la guerre contre l'Iran de 1981 à <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:metricconverter w:st="on" ProductID="1988, l">1988, l</st1:metricconverter>'ont livré hier aux bourreaux d'un gouvernement fantoche dépourvu de toute légitimité nationale.
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http://www.chevenement.fr/Le-sommeil-de-la-raison-engendre-des-monstres_a150.html
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Pour faire évoluer l'équation de la politique économique et celle de la politique européenne qui sont, à tant d'égards, une seule et même chose, il faudra - chacun le ressent - à la fois une dynamique et un pays rassemblé derrière une équipe soudée. C'est l'enjeu des échéances de 2007.
Je ne pense pas que Nicolas Sarkozy soit le mieux placé aujourd'hui pour rassembler le pays. J'ajoute que derrière sa tête, je vois se profiler toutes les têtes du CAC 40. Ce n'est pas avec celles-là qu'on fera bouger les choses !
<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p>Lire la suite :</o:p>
<?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="La France">La France</st1:PersonName> est mûre, aujourd'hui, pour porter une femme à la tête de l'Etat et Ségolène Royal peut permettre - je le crois - un large rassemblement sans sectarisme autour des valeurs qu'elle professe. Dans ces valeurs, j'ai d'autant moins de peine à me reconnaître que je les ai défendues quand elles n'étaient pas à la mode : la notion d'« ordre juste » ne saurait heurter un républicain. Quant à la conception de la nation identifiée à la communauté des citoyens, sans distinction d'origine, elle est la seule qui puisse être opposée victorieusement à la fois à la toute puissance des forces du marché, c'est à dire de l'Argent, et à la vision déformée et xénophobe de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="La France">la France</st1:PersonName> portée par l'extrême droite. C'est là mon plus vieux combat.
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