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    Jean-Pierre Chevènement considère le traité simplifié adopté par les Vingt-Sept la semaine dernière à Lisbonne comme une "entourloupe" et réclame qu'il fasse l'objet d'un référendum en France.

    "On se moque du monde, on se moque du peuple Français", a déclaré sur France 2 le président d'honneur du Mouvement républicain et citoyen.

    "Je demande à tous les citoyens de faire pression sur leurs députés pour qu'ils ne se prêtent pas à cette mascarade et que tout le monde exige un référendum", a ajouté l'ancien ministre, qui estime que le texte rejeté par les Français en mai 2005 n'a subi que "quelques modifications de forme" depuis lors.

     

    http://www.chevenement.fr/Chevenement-denonce-une-entourloupe-sur-le-traite-europeen_a451.html


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p>

     

    Le pouvoir d'achat est un sujet de controverse récurrent en France depuis que le passage à l'euro, en <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:metricconverter ProductID="2002, a" w:st="on">2002, a</st1:metricconverter> amplifié l'écart entre ce que disent les chiffres et ce que ressent l'opinion. Le chef de l'Etat en fait une "priorité nationale" et le gouvernement lui consacre, mardi 23 octobre, une conférence sociale.

    Les statisticiens de l'Insee sont formels, le pouvoir d'achat devrait, selon eux, progresser pour la troisième année consécutive : + 1,7 % en 2005, + 2,3 % en 2006, + 2,8 % en 2007. Quant à l'inflation, elle reste historiquement basse malgré une légère remontée en septembre (+ 1,5 %). Les ménages ont néanmoins du mal à se convaincre de la sagesse des prix quand ils voient valser les étiquettes de la baguette ou des yaourts. Et ils sont nombreux à penser qu'avec l'euro leur pouvoir d'achat s'est réduit comme une peau de chagrin.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-969727,0.html</o:p>


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    Le Président Sarkozy, au lieu de s'appuyer sur le « non français » pour obtenir des concessions sur le gouvernement économique de la zone euro, sur la politique monétaire ou sur la préférence communautaire a capitulé sur toute la ligne.

    Le traité de Lisbonne consacre la rupture de l'égalité fondatrice de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> et de l'Allemagne dans les institutions européennes (chacune disposant de 29 voix) en instaurant une pondération démographique : <st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> pèsera désormais moins que les ¾ de l'Allemagne qui, avec l'appui de nombreux Etats-clients, pourra faire jouer partout la minorité de blocage. La relation franco-allemande en sera durablement déséquilibrée et affaiblie

     

    http://www.chevenement.fr/Lisbonne-contre-l-interet-et-la-liberte-de-la-France_a447.html?preaction=nl&id=3345999&idnl=27363&


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    Peut-on se rapprocher d'un régime présidentiel ?

    Lundi 5 novembre 2007

    Maison de la Chimie

    28 rue Saint Dominique

    75007 Paris

    Les invités :  Marie-Françoise Bechtel, Conseiller d'Etat ;Christophe Boutin, professeur à l'Université de Caen ; Anne-Marie Le Pourhiet, professeur à l'Université de Rennes ; Michel Troper, professeur à l'Université de Paris X et Jean-Pierre Chevènement, président de la Fondation Res Publica

    Inscrivez-vous : info@fondation-res-publica.org


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  • En apportant leur caution à Nicolas Sarkozy, les ministres issus de la gauche accentuent « la dérive néoconservatrice du pouvoir » expliquent les historiens Pierre Cornu et Jean-Luc Mayaud. Auteurs d'un texte virulent et alarmiste sur leur blog, «Sur quoi ouvre l'ouverture », ils analysent le « mutisme » du PS.

     

    Pierre Cornu est maître de conférences à l'université Blaise Pascal Clermont 2 et Jean-Luc Mayaud professeur d'histoire à l'universite de Lyon 2, dont il dirige le Laboratoire d'études rurales. Ils publient le mois prochain « Au nom de la terre » un essai sur l'agrarisme aux éditions de la boutique de l'histoire.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />Qu'est-ce que vous pensez du silence politique qui entoure la question de l'ouverture?

    Le silence des partis de gauche sur la politique d'« ouverture » de Nicolas Sarkozy ne doit être interprété ni comme une tactique du « mépris » ni comme l'expression d'une gêne passagère. C'est au vrai un mutisme de la stupeur et de l'abattement. Car ce qui s'est effondré avec le débauchage de quelques figures du Parti socialiste et du tissu associatif, ce n'est pas seulement la discipline collective de la gauche héritée des tréteaux du programme commun des années 1970, mais c'est l'illusion de l'autonomie intellectuelle et morale d'une social-démocratie détachée de son socle marxiste. Le Parti socialiste, dans sa configuration majoritaire, a cru que l'humanisme laïc et l'expertise technocratique suffiraient à maintenir son capital électoral et sa force d'attraction sur les classes moyennes et les élites de la sphère non marchande. Il se rend compte aujourd'hui qu'il ne sait même pas quoi reprocher à ceux qui sont allés vendre leur « humanisme » et leur « expertise » au nouveau pouvoir.

     

    http://contrejournal.blogs.liberation.fr/mon_weblog/ouverture_ou_imposture/index.html 

     

    [Merci à Nicole]


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