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    Le traité de Lisbonne, comme la constitution européenne rejetée le 29 mai 2005, exige une révision constitutionnelle préalable pour pouvoir être ratifié. En effet, comme le stipule l'article 89 de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Constitution">la Constitution</st1:PersonName> relatif à la révision, celle-ci - à défaut d'être approuvée par la voie référendaire qui est le mode normal de révision - doit réunir la majorité des trois cinquièmes des suffrages exprimés au Congrès. Les deux cinquièmes du Congrès, à supposer que tous les parlementaires votent, cela fait 363 voix. Or cette minorité de blocage existe si tous les parlementaires se souviennent des engagements qu'ils ont pris à travers les candidats qu'ils ont soutenus pendant la campagne présidentielle. A tous ces parlementaires, et aussi aux autres d'ailleurs, je demande : comment pourriez-vous demain déplorer la crise de la démocratie, le fossé entre le peuple et les élites, l'abaissement du Parlement, si vous deviez vous-mêmes consacrer par votre vote le droit du président de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la République">la République</st1:PersonName> de déclarer nul et non avenu un vote référendaire aussi explicite que celui du 29 mai 2005 ?

     


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    Meeting sur le traité de Lisbonne !

     

    Ensemble exigeons un référendum !

     

    Vendredi 7 décembre à 20h30, à Belfort

     

    http://www.chevenement.fr/Meeting-sur-le-traite-de-Lisbonne-Ensemble-exigeons-un-referendum,-vendredi-7-decembre-a-20h30,-a-Belfort_a500.html?preaction=nl&id=3345999&idnl=29078&

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

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    Des souverainistes de droite et de gauche se sont retrouvés hier contre le projet de «Constitution européenne bis».

     

    «Coup d'état», «haute trahison», «viol»... Les partisans d'un référendum sur le projet de «Constitution européenne bis» n'ont pas eu de mots assez durs, hier, contre la décision de Nicolas Sarkozy, conformément à ses engagements de campagne, de faire adopter le nouveau traité européen par la voie parlementaire. Pour l'occasion, Jean-Pierre Chevènement, président d'honneur du Mouvement républicain et citoyen (MRC), Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la République" w:st="on">la République</st1:PersonName>, Marie-Noëlle Lienemann, député européen socialiste, ou Pierre Lefranc, ancien chef de cabinet du général de Gaulle, se sont retrouvés à la même tribune. À l'unisson, ils ont appelé tous les «républicains» à la «résistance».

    «Nous sommes à la veille d'un coup d'État. On est en train de violer la nation. Nous devons résister pour faire respecter la liberté du peuple», a lancé Pierre Lefranc, faisant allusion au référendum du 29 mai 2005 par lequel 55 % des Français avaient rejeté <st1:PersonName ProductID="la Constitution" w:st="on">la Constitution</st1:PersonName> européenne. «Même ceux qui ont été pour le oui doivent se dresser pour demander un référendum», a enchéri Marie-Noëlle Lienemann. «Les forces de gauche», a-t-elle dit, «ne peuvent pas refuser la parole au peuple».

     

    http://www.lefigaro.fr/politique/2007/12/03/01002-20071203ARTFIG00486-europe-affiche-ineditedans-le-camp-pro-referendum.php


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    « Appel du Comité National pour un Référendum - CNR  »

     

    Un nouveau traité - dit traité de Lisbonne - vient d'être approuvé par les dirigeants européens suite au rejet du projet de traité constitutionnel refusé majoritairement par les Français et les Néerlandais lors des référendums de mai et juin 2005.

    C'est donc à nouveau le suffrage universel qui doit trancher par référendum.

    Sur un sujet qui a tant d'influence sur la vie de chacun et l'avenir de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName>, l'organisation d'un nouveau référendum est une exigence démocratique majeure pour notre pays. C'est aussi une nécessité pour la construction européenne qui doit être fondée sur l'adhésion des peuples et la souveraineté populaire

     

    http://www.nousvoulonsunreferendum.eu/


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    Tout à leurs difficultés économiques, la grande majorité des Français n'en auront rien vu, rien su, rien entendu, mais la plupart des dispositions du traité constitutionnel européen, rejeté par référendum en 2005, devraient entrer bientôt en vigueur. L'accord sur le «traité simplifié», ou «mini-traité», est intervenu lors d'un sommet européen à Lisbonne, le mois dernier. Les téléspectateurs les plus attentifs se souviennent peut-être des titres triomphants des JT ce soir-là : l'Europe en panne a «redémarré». Elle est «sortie de l'ornière». Sourires sur les visages, soulagement général : l'épisode était à ranger dans le tiroir des bonnes nouvelles.

    L'affaire a été d'autant plus rondement menée au 20 heures que l'adoption du traité de Lisbonne est intervenue en même temps que l'annonce du divorce du couple Sarkozy. Dans les rédactions, la tête était ailleurs.

    Traité simplifié contre Constitution européenne : rien à voir, a priori, pour peu que l'on écoute distraitement. Et tout semblait fait pour assourdir le rappel au bruyant traumatisme de 2005, pour enfouir le souvenir des tonitruantes polémiques d'alors au cimetière des catastrophes fondatrices, avec la défaite de 1940 et Alésia. Il fallait donc tendre l'oreille, avec un effort de concentration hors de portée de l'immense majorité du commun des mortels, pour comprendre que ce traité simplifié reprenait 98 % du projet de la constitution rejetée, l'habillement constitutionnel (c'est-à-dire les symboles) en moins. «Cette fois, il sera adopté par la voie parlementaire», susurraient innocemment les JT, en se gardant bien d'ajouter : «Il n'y aura pas de référendum, parce qu'aucun dirigeant ne souhaite s'exposer à l'humiliation d'un nouveau refus populaire.» On ne disait pas : «Ce qu'un référendum a rejeté, le Parlement va l'adopter en catimini.»

     

    La suite : http://www.liberation.fr/rebonds/chroniques/mediatiques/291729.FR.php

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>[Merci à Nicole]

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