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    Nicolas Sarkozy hier, dans les Ardennes, s'est efforcé de rattraper Ségolène Royal, en flétrissant l'euro cher, « les dérives financières » et la politique de la Banque Centrale Européenne.
    M. Trichet a répondu par avance, le 17 décembre, à Berlin : « Nous sommes indépendants parce que nos régimes démocratiques l'ont voulu ainsi ». En déclarant à la réunion du PSE à Porto : « Ce n'est pas à M. Trichet de décider de l'avenir de nos économies, c'est aux dirigeants démocratiquement élus », Ségolène Royal a implicitement pointé la nécessité de modifier le texte des traités européens concernant les statuts de la BCE.

    <o:p> </o:p><o:p>lire la suite :</o:p>

    http://www.chevenement.fr/A-la-merci-d-une-voix-claire-et-veridique_a138.html

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  • La reconquête par la gauche de l'électorat populaire, voilà l'objectif excellemment fixé par Ségolène Royal samedi. Sa personnalité, déjà, contribue, selon les sondages, à les séduire plus que le prêchi-prêcha traditionnel des militants, peut-être juste dans le fond, mais usé dans la forme. Il faut recréer un espoir, comme dans les années soixante-dix, mais cet espoir ne peut plus venir d'une « alliance de sommet ». Il ne peut venir, pour le moment, que de la base ou plus exactement d'une dialectique entre la base et la candidate. C'est ainsi que la confiance peur revenir. On m'objectera que ce rapport entre la candidate et le peuple n'est pas dénué d'une certaine religiosité, dans une société pourtant « sortie de la religion », selon l'excellente expression de Marcel Gauchet.


     


    Lire la suite: http://www.chevenement.fr/Segolene-structurante_a135.html


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    " Je crois qu'on cherche un candidat antilibéral...  Mais le candidat antilibéral, c'est moi ! "

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    Jean-Pierre CHEVENEMENT ovationné par plus d'un millier de militants, salle JAPY.


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  • Alors que Lionel Jospin, dont il est un proche, a indiqué mercredi que son soutien à Ségolène Royal "allait de soi", Claude Allègre a expliqué sur i-TELE qu'il n'était "pas forcément toujours en accord" avec l'ancien Premier ministre.
    "Aujourd'hui, je pense que Jean-Pierre Chevènement porte davantage les valeurs de la gauche que Ségolène Royal", a-t-il dit, tout en précisant qu'il n'avait pas arrêté son vote.
    Selon l'ancien ministre, le vote des militants socialistes a été "biaisé" et "pas honnête".
    Claude Allègre a jugé que Lionel Jospin "aurait rendu un grand service à la France s'il s'était présenté un peu plus tôt".

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  • Chevènement chez Fogiel
    Vidéo envoyée par chevenement2007

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