• La constitution d'une « équipe du pacte présidentiel » autour de Ségolène Royal est l'affaire du Parti socialiste. Il est temps en effet que tous, en son sein, se mobilisent. Rappelons-nous qu'Hannibal a gagné ses plus fameuses batailles, celle du lac Trasimène et celle de Cannes, grâce à sa cavalerie d'éléphants. Encore fallut-il que ceux-ci, au nombre de trente-sept, selon Tite-Live, franchissent préalablement les Alpes. Les chroniqueurs de l'époque se divisent sur l'itinéraire emprunté. L'essentiel c'est que les éléphants n'arrivent pas après la bataille...


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    EQUIPE DU PACTE PRESIDENTIEL DE SEGOLENE ROYAL
    Lionel Jospin ; François Hollande ; Dominique Strauss-Kahn ; Laurent Fabius ; Pierre Mauroy ; Edith Cresson ; Henri Emmanuelli ; Bernard Kouchner ; Bertrand Delanoë ; Gérard Collomb ; Martine Aubry ;Yvette Roudy .
    Et les présidents des groupes socialistes à l'Assemblée Nationale et au Sénat : Jean-Marc Ayrault et Jean-Pierre Bel
    Directeurs de campagne : Jean-Louis Bianco, François Rebsamen
    Directeur de Cabinet : Christophe Chantepy

    COORDINATION DES FORMATIONS POLITIQUES
    François Hollande : Premier Secrétaire du Parti Socialiste
    Jean-Pierre Chevènement : Président du Mouvement Républicain et Citoyen
    Jean-Michel Baylet : Président du Parti Radical de Gauche<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

    POLE EXPRESSION PUBLIQUE COMMUNICATION
    Conseillers spéciaux : Jack Lang et Julien Dray
    Porte-Parole (coordonnés par Jean-Louis Bianco) : Arnaud Montebourg, Vincent Peillon, Najat Belkacem.
    Déléguée à l'expression républicaine : Christiane Taubira
    Coordination des interventions thématiques : Jean-Pierre Chevènement
    Réunions publiques, déplacements : Patrick Mennucci
    Relations avec la presse nationale : Claude Bartolone, Delphine Batho
    Presse régionale : Gilles Savary, Jean Guérard
    Presse internationale : Elisabeth Guigou, Manuel Valls
    Argumentaires : Jean-Marie Le Guen, Annick Le Petit
    Communication interne, mobilisation des fédérations : Bruno Le Roux ; Eugène Caselli ; Christiane Demontès ; Gilles Pargneaux
    Coordination des réponses aux questionnaires : Stéphane Le Foll
    Coordination des réponses au courrier : Thierry Mandon
    Relations syndicats / associations / société civile : David Assouline
    Association de financement : Dominique Bertinotti

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    Nicolas Sarkozy met en avant la souplesse, la flexibilité, la fin des contraintes, etc. ainsi à travers la création d'un « contrat unique de travail ». Pas de chance pour lui, la bilan du CNE (contrat nouvelle embauche) fait apparaître que moins de la moitié seulement de ces contrats débouche, à terme, sur l'emploi. Ségolène Royal n'a plus qu'à ajouter : « C'est la précarité qui tue la valeur travail ».
    Nicolas Sarkozy a calibré son programme en fonction d'une « certaine idée de la gauche », celle des 35 heures, du « partage du travail » et de l'assistanat. Pas de chance pour lui, Ségolène Royal réfute l'assistanat, vante le « donnant-donnant », se propose d'assouplir le régime des heures supplémentaires, met partout en regard des droits, les devoirs qui doivent les accompagner. Nicolas Sarkozy retarde d'une gauche. Il retarde d'une guerre.


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    Ségolène ROYAL a défendu avec ardeur son "pacte présidentiel"devant plus de 10.000 personnes, sans compter quarante cars n'ayant pu accéder au site, selon les organisateurs qui ont évalué la participation à 18.000 personnes.

     "Nous commençons ici la marche de la victoire", a-t-elle lancé.
     "Ce premier tour décidera grandement de l'issue du scrutin. Je n'oublie pas le 21 avril 2002. Si on veut faire gagner la gauche, il faut être au rendez-vous dès le 22 avril prochain", a-t-elle dit, devant un parterre de personnalités PS de la région quasiment au grand complet.


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  • 1.La difficulté d'une campagne présidentielle est d'en fixer les enjeux à bonne hauteur :
    -en évitant de la réduire aux « couacs » réels ou plus souvent supposés de la campagne de Ségolène Royal à laquelle la droite, avec sa suffisance coutumière, conteste compétence et légitimité, tandis que Nicolas Sarkozy avait le monopole de la compétence, comme s'il détenait la légitimité qui est par nature de droite ;
    -ainsi le chiffrage de son programme – 48+68 MF = 116 Milliards d'euros -, n'a pratiquement pas donné lieu à contestation sauf de la part du Monde, bien informé des critiques de MM. Lambert, Méhaignerie, Carrez et Blanc, hommes très compétents qui ont vu que M. Sarkozy « allait dans le mur ». M. Méhaignerie a indiqué qu'il serait possible de baisser tout au plus de un point, et non pas de quatre, le montant des prélèvements obligatoires en 2012.
    Soit M. Sarkozy est un super Thatcher qui fait peur, soit c'est un super démagogue qui se moque des citoyens et auquel ceux-ci auraient bien tort de faire confiance.
    2.Il faut apprendre à voir derrière la paille des mots le grain des choses.
    -M. Guaino est le souffleur,
    -M. Sarkozy le comédien, un comédien dont le talent est certain. Mais est-il sincère ? Que cache-t-il derrière ses discours ? Je les ai lus avec attention.

    Lire la suite :

    http://www.chevenement.fr/En-tous-domaines-Nicolas-Sarkozy-est-le-probleme,-tandis-que-Segolene-Royal-est-la-solution_a230.html?PHPSESSID=38df8ca9adec238b8dc1e3973bf61d8b


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