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    Ce n'est pas encore la guerre. Mais la tension monte entre le Mouvement républicain et citoyen (MRC) et le Parti socialiste en vue des municipales à Paris.

    Le parti chevènementiste menace de présenter des listes dans «7 à 8 arrondissements» de Paris et notamment dans le XIe où le maire sortant Georges Sarre, premier secrétaire du MRC, estime avoir été «lâché» par le PS. Face au maire sortant du XIe, le PS veut imposer Patrick Bloche, qui dirige la fédération socialiste de Paris.

     

    http://www.liberation.fr/actualite/politiques/303329.FR.php 

     

    [Merci à Nicole]


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    Où l'on apprend que, comme Marianne2 l'avait annoncé, Arnaud Lagardère s'est porté candidat à la reprise du groupe Le Monde avec le groupe espagnol Prisa

     

    Le Monde restera-t-il la propriété de ses journalistes ? Ceux-ci sont, en tout cas, très mobilisés contre l'hypothèse - émise lundi 7 janvier par Marianne2 - d'une montée en puissance de Lagardère et de Prisa (éditeur du quotidien espagnol El Pais) au capital du groupe, en crise depuis la démission de deux membres de son directoire, Bruno Patino et Pierre Jeantet. En fait, Marianne2 est en mesure de reconstituer l'origine de la crise actuelle, bien qu'Alain Minc n'ait pas souhaité répondre à nos questions. A début du mois de décembre, Alain Minc sollicite et obtient un rendez vous avec Arnaud Lagardère. II lui demande si, « en cas de crise », Lagardère était prêt à monter au capital du Monde. La réponse a été positive. Pourquoi, alors que Lagardère souhaitait plutôt se désengager du quotidien depuis qu'il a opéré son virage stratégique vers les technologies numériques, le conflit avec Publicis pour le contrôle de la régie ne l'incitant guère, de surcroît, à rester un partenaire privilégié ?

     

    http://www.marianne2.fr 

     

    [Merci à Nicole]


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    « Territoires et classes sociales en France dans la mondialisation »

     

    Lundi 14 janvier 2008

    18h

    Maison de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Chimie" w:st="on">la Chimie</st1:PersonName>

    <st1:PersonName ProductID="la Chimie" w:st="on"></st1:PersonName>75007 Paris

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    Christophe Guilluy, géographe-consultant (Cabinet Maps), co-auteur avec Christophe Noyé de Atlas des nouvelles fractures sociales en France (Autrement, 2006) ; Philippe Subra, maître de conférences, enseignant à l'Institut français de géopolitique de Paris 8 Saint-Denis, membre du comité de rédaction de la revue Hérodote, auteur de Géopolitique de l'aménagement du territoire (Armand Colin, 2007) ; Philippe Van de Maele, directeur de l'ANRU (Agence nationale de rénovation urbaine) ; Jean-Luc Laurent, maire du Kremlin-Bicêtre et vice-président de la région Ile de France en charge du logement ; Patrick Quinqueton, président de l'UNHAJ (Union nationale pour l'habitat des jeunes) ; Jean-Pierre Chevènement, président de <st1:PersonName ProductID="la Fondation Res" w:st="on">la Fondation Res</st1:PersonName> Publica

     

    Inscrivez-vous : res-publica@wanadoo.fr


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    Vous avez dirigé trois journaux, dont deux que vous avez créés. Comment analysez-vous la crise sans précédent que traverse aujourd'hui la presse écrite ?

    On oublie souvent que c'est un phénomène plus général encore. Sur les dix dernières années, la baisse d'écoute des télévisions et des radios est aussi très frappante. C'est une crise cataclysmique, le mot n'est pas trop fort. Les gens ne s'en rendent pas toujours compte car cette crise a été progressive. Mais si nous étions dans une pure économie de marché, il n'y aurait plus de quotidiens. C'est une crise de la démocratie, la télévision étant par ailleurs contrôlée par le pouvoir, soit en raison des liens d'amitié du patron de TF1 avec Nicolas Sarkozy, soit parce que la télévision publique est une télévision d'Etat.

    Vous dites qu'il faut "tout repenser" dans la presse. De quelle façon l'entendez-vous ?

    Il faut tout remettre à plat. D'abord sur un plan technique : il n'y a pas de concurrence dans l'imprimerie et les coûts d'impression sont très chers. Malgré tous les efforts des Nouvelles Messageries de la presse parisienne (NMPP), le prix de distribution est trop élevé. Quand j'explique à des industriels le pourcentage qui passe dans la distribution, ils sont effarés. Idéologiquement, je suis favorable au système coopératif des NMPP, qui permet à tous d'être distribué partout. Mais c'est parce que Marianne a quitté les NMPP (début 2000) que nous nous en sommes sortis : 8 millions de francs (1,3 million d'euros) de coûts en moins sur une année ! Enfin, tous les ans, on nous explique qu'on va rouvrir des kiosques. Or, tous les ans, il y en a de moins en moins.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3236,36-996204@51-996263,0.html


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  • Hyperconformistes, résignés, sans guère d'espoir de changer la société, ni même de maîtriser leur avenir personnel... Le portrait des jeunes Français publié aujourd'hui par <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Fondation" w:st="on">la Fondation</st1:PersonName> pour l'innovation politique (www.fondapol.org), sur la base d'un sondage international mené par Kairos Future, fait froid dans le dos. «Quarante ans après mai 1968, les jeunes Français ne semblent avoir réussi à gagner que l'autonomie sexuelle et quelques stations de radios qui leur sont dédiées», commente Anna Stellinger, direc­trice de recherche à <st1:PersonName ProductID="la Fondapol." w:st="on">la Fondapol.</st1:PersonName>

    Pour le reste, les slogans de ce printemps-là paraissent bien loin. Aujourd'hui, parmi les jeunes de 16 à 29 ans, interrogés dans dix-sept pays, les Français sont quasiment les seuls à affirmer que l'obéissance est une qualité plus importante à développer chez l'enfant que l'indépendance. Ils sont aussi moins nombreux que les autres à faire ce qu'ils veulent vraiment. Ils considèrent plutôt qu'il est «important de se conformer aux attentes des autres».

    Seuls les jeunes Russes les surpassent sur ce terrain-là. La société française apparaît ainsi bien plus contraignante que l'américaine ou celle des pays scandinaves. La jeunesse française est aussi la plus pessimiste. À peine un quart des 16-29 ans juge l'avenir «prometteur», contre près de 60% au Danemark et 54% aux États-Unis ou même 36% en Allemagne. Bien moins de la moitié (39%) pensent que «les gens peuvent changer la société». Et seuls 22% estiment qu'ils ont «une liberté et un contrôle total sur leur avenir». Plus de la moitié des Américains en sont pourtant persuadés

     

    http://www.lefigaro.fr/actualites/2008/01/04/01001-20080104ARTFIG00002-les-jeunes-francaisbroient-du-noir-.php


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